UNE VILLA AU CAP D’ANTIBES
En 1930 ma grand-mère vit à Paris dans le quartier d’artistes de la Ruche et fréquente Chagall, Modigliani, Foujita, Léger…
Un jour, elle apprend qu’un oncle éloigné, ancien capitaine au long-cours, lui a légué sa maison, une des premières villas construites au cap d’Antibes. Nostalgique de sa Côte d'Azur natale, elle décide d’y retourner et de transformer son héritage en pension de famille.
Pendant dix ans, elle y recevra ses nombreux amis parisiens : artistes, poètes, écrivains, venus jouir du soleil et de la méditerranée.